armée syrienne libre cannibalisme
D'autres groupes rebelles ont fait partie de l'Armée syrienne libre avant de s'en retirer, comme le Liwa al-Tawhid, Suqour al-Cham et le Liwa al-Umma. Elle forme au début du conflit la principale force armée opposée au régime de Bachar el-Assad, avant d'être supplantée dans certaines régions par des factions islamistes ou djihadistes[6],[7],[8]. Mediapart indique en mars 2016 qu'« aux dires des familiers du terrain, l’ASL a [...] subi de plein fouet à partir d’octobre dernier les frappes aériennes russes et les offensives terrestres de l’armée syrienne, de ses alliés du Hezbollah et des miliciens afghans, entraînés par l’Iran et coordonnés sur le terrain par les conseillers russes »[9]. Coup de théâtre, le journal britannique Times rapporte que des rebelles syriens « ont proposé de se rallier à l’armée syrienne pour combattre al-Qaida ». 23 juillet 2016 Abdul Razzak Tlass, l'ancien chef de la brigade Omar al-Farouq, de l'armée syrienne libre, a été vu à Paris il y a quelques jours. En février, l'armée syrienne lance une série d’offensives sur la ville de Homs, devenue symbole de la rébellion, et tue des centaines de civils. Cordialement, Deuxtroy 11 septembre 2012 à 14:13 (CEST) Selon des informations circulant sur les réseaux sociaux, la France lui aurait accordé l'asile. D'après un rapport publié en septembre 2012 par la fondation anglaise Quilliam, l'ASL serait composée à 10 % par des islamistes radicaux[86]. Retrouvez plus d'infos sur le site Sputnik France Bien qu'alliés à l'ASL dans le but de faire tomber Al-Assad, les membres de l'ASL ont condamné à de nombreuses reprises les attentats-suicides perpétrés par Al-Nosra et certains indiquent que l'éventualité d'un après-Assad serait marqué par une guerre entre l'ASL et les islamistes djihadistes, prônant une société basée sur les lois de la charia[138]. L'asile en France pour le commandant du rebelle cannibale «modéré» syrien ? je ne le fais pas souvent, mais je vous propose un texte issu d’un autre site francophone. Pour le politologue Hasni Abidi, « l’ASL est un peu une auberge espagnole. Fin décembre 2011, les services de renseignements français estiment les forces de l'ASL à 8 000 hommes[62]. [...] Nous, l’état-major de l’ASL, sommes exclus de ce processus. Archives de Tag: Armée syrienne libre Navigation des articles. En novembre 2012, le conseil militaire de l'ASL annonce son soutien à la nouvelle Coalition nationale des forces de l'opposition et de la révolution (CNFOR) et sa collaboration avec elle[34]. Le 1er avril 2012, Burhan Ghalioun annonce que son organisation « va prendre en charge le paiement des salaires fixes de tous les officiers, soldats et résistants membres de l'ASL »[23]. Elle était composée des mêmes combattants qui aujourd’hui sont dans le, « des Forces spéciales britanniques et une poignée de Français », « pour fournir de l'aide médicale et alimentaire », « En vérité, nous n'avons pas reçu la moindre arme des États-Unis. 23 juillet 2016 Abdul Razzak Tlass, l'ancien chef de la brigade Omar al-Farouq, de l'armée syrienne libre, a été vu à Paris il y a quelques jours. Malgré son rejet à l'Assemblée, Castex maintient l'instauration d'un pass sanitaire. En avril 2013 également, le président Barack Obama débloque 10 millions de dollars « pour fournir de l'aide médicale et alimentaire » au Conseil militaire suprême qui chapeaute l'ASL et à la Coalition nationale des forces de l'opposition et de la révolution (CNFOR)[98]. Mais d'après le journaliste Georges Malbrunot, « les Forces spéciales n'ont pas attendu les annonces officielles pour passer à l'action » et plus précisément entraîner des rebelles de l’Armée syrienne libre (ASL) passés en Jordanie, au « King Abdallah special operation training center » (Kasotec) situé au nord d’Amman. La plupart sont nationalistes, certaines sont islamistes sunnites modérées, d'autres laïques[2]. Le 23 septembre 2011, l'Armée syrienne libre (ASL) fusionne avec le Mouvement des officiers libres (MOL, arabe : حركة الضباط الأحرار, ħarakat al-ḍubbaṭ al-aħrar) et devient ainsi le principal groupe armé d'opposition[6]. [...] les groupes, même sous la bannière de l’ASL, font ce que bon leur chante. Son accès est strictement contrôlé par les Forces armées turques[22]. En juin 2014, le gouvernement de la Coalition nationale syrienne dissout le Conseil supérieur militaire de l'Armée syrienne libre et défère ses membres devant le comité de contrôle financier et administratif du gouvernement pour qu'ils fassent l'objet d'une enquête[49]. Le même mois, le centre de commandement de l'ASL, initialement situé à Hatay en Turquie, est déplacé en Syrie dans le but de mieux contrôler les groupuscules extrémistes agissant en son nom[30]. En septembre 2013, le New York Times met en ligne « une vidéo montrant des rebelles syriens exécutant sept prisonniers, identifiés comme étant des soldats de l'armée régulière. En juin 2012, Human Rights Watch (HRW) accuse l'Armée syrienne libre de recruter des enfants soldats[127]. En février 2012, le ministre des Affaires étrangères britannique William Hague déclare que le Royaume-Uni s'apprête à envoyer de l'équipement en communication stratégique à l'opposition syrienne, et qu'il n'y aurait pas de limites à ce soutien[106]. L'Armée syrienne libre rassemble plusieurs factions aux idéologies disparates. Toutefois ces violations et abus n'étaient pas de la même gravité, fréquence et échelle que ceux commis par les forces gouvernementales syriennes et les Chabbiha », accusées pour leur part de crimes contre l'humanité[133]. La direction de la partie armée de l’opposition syrienne ne sont pas Al Qaïda mais les officiers déserteurs de l’armée syrienne. Mais, selon un proche de Selim Idriss, « cette opération de secours est du bidon, les salafistes se sont servis dans les entrepôts » et rien n'indique selon lui qu'ils sont disposés à rétrocéder leur prise de guerre[47]. À mesure que les combats se sont intensifiés, les brigades ASL se sont retrouvées en manque de moyens, acculées peu à peu à des pures stratégies de survie. En novembre 2011, le colonel Riad al-Asaad affirme que l'ASL compte 10 000 hommes divisés en 22 bataillons[61]. Pour paramétrer l’utilisation des cookies veuillez accéder dans la rubrique «Paramétrer vos choix» et pour plus d’informations, nous vous invitons à consulter la rubrique «Politique de Confidentialité», L'ancien commandant de la brigade al-Farouk, Abu Sakkar, membre de la brigade al Farouq. L'enlisement du conflit. Un premier groupe de 300 hommes, sans doute épaulés par des commandos israéliens et jordaniens, ainsi que par des hommes de la CIA, aurait franchi la frontière le 17 août. En juin 2013, Barack Obama ordonne secrètement à la CIA de se coordonner avec les alliés des États-Unis qui fournissent des armes aux rebelles[125]. Certes il existe des groupes jihadistes comme le Front al-Nosra qui ont déclaré leur allégeance à Al Qaïda et qui mènent des combats contre les troupes du régime, parfois en coordination avec l’Armée syrienne libre (ASL), parfois contre son avis. Pour paramétrer l’utilisation des cookies veuillez accéder dans la rubrique, Marseille : épuisés par la pandémie, les soignants réclament de meilleures conditions de travail, Malgré son rejet à l'Assemblée nationale, Castex maintient l'instauration d'un pass sanitaire, Accusé d’avoir qualifié un policier de «racaille de flic», Taha Bouhafs relaxé par le tribunal. L'ASL a par ailleurs reconnu que des combattants djihadistes se sont rangés à ses côtés, mais sans avoir un rôle « significatif »[84]. Mais le Conseil militaire de l'ASL dément être lié à l'enlèvement de Hassan al-Mouqdad[54]. La dernière modification de cette page a été faite le 12 décembre 2020 à 16:39. Le soi-disant «libre parcours» de l'armée syrienne libre avec la CIA (Central Intelligence Agency) pourrait être de courte durée, selon Myles Hoenig, un analyste politique et activiste des USA. Elle aurait été tournée dans le nord du pays au printemps 2012 », « prélève une partie de l’aide humanitaire et militaire », « le porte-parole du commandement général de l'Armée syrienne libre, Fahad Al Masri, a lancé des menaces à l'endroit de la Fédération de Russie, en déclarant notamment que si la Russie ne change pas de position sur la question syrienne, elle sera considérée comme « État ennemi » », « Le problème est que la situation est très variable d’une région à l’autre : dans certaines zones, l’ASL est une coquille vide, dans d’autres, comme à Damas, elle est structurée et serait sûrement capable de prendre la main si la situation le permettait », « L’ASL n’est plus qu’un nom. Ne défendez pas les terroristes de la soi-disant Armée Syrienne Libre. Selon le site loyaliste Syrian PC et plusieurs comptes Twitter sur les réseaux sociaux, Abdul Razzak Tlass se serait vu accorder l'asile en France. HRW renouvelle sa critique dans un rapport publié en novembre : selon l'ONG, au moins trois brigades de l'ASL auraient recours à des enfants, ce qui constitue un crime de guerre[129]. Au début du mois de septembre 2012, le général Mohamed Al-Haj Ali, un officier déserteur, annonce la création d'une Armée nationale syrienne censée s'attaquer à l'influence des réseaux islamistes[27] ou, selon d'autres sources, remplacer l'Armée syrienne libre[28],[29]. En avril 2014, l'ASL reçoit pour la première fois, via le mouvement Hazm (composé principalement d'anciens soldats ayant fait défection de l'armée syrienne), une vingtaine de missiles antichars TOW de fabrication américaine pour lesquels des dizaines de combattants ont subi un entrainement grâce à une aide internationale. Selon le New York Times, le Qatar finance « un effort multinational actif et complexe [...] pour transporter les armes depuis la Libye jusqu’aux combattants de l’opposition syrienne ». Selon l'universitaire Thomas Pierret, « l'aide militaire saoudienne est surtout livrée à des groupes d'anciens militaires déserteurs, comme le Conseil militaire révolutionnaire, dirigé par le colonel Abdel Jabbar al-Oqaidi, à Alep »[79]. Le gouvernement libyen ne serait cependant pas impliqué dans ces transferts[78]. Un acte de cannibalisme qui a déclenché un tollé au sein de la Communauté internationale mais … En septembre 2013, des groupes appartenant à l'ASL affirment, de concert avec treize des groupes rebelles islamistes les plus puissants en Syrie et dont l'ASL était proche, qu'aucune organisation basée à l'étranger, y compris la Coalition nationale, ne saurait les représenter : ils forment alors une alliance avec les djihadistes du Front al-Nosra[42],[43]. Abdul Razzak Tlass, l'ancien chef de la brigade Omar al-Farouq, de l'armée syrienne libre, a été vu à Paris il y a quelques jours. La CIA et des forces spéciales américaines forment également des rebelles syriens en Turquie. Slate.com — 15 mai 2013 à 9h22. Vers la mi-janvier 2012, l'ASL déclare avoir 40 000 hommes dans ses rangs[63]. Il porte sur un échantillon de 1 365 personnes, dont 674 en zone contrôlée par le gouvernement syrien, 430 en zone contrôlée par les rebelles, 170 en zone contrôlée par l’État islamique et 90 en zone contrôlée par les Kurdes. Khalid al Hamad, le rebelle syrien cannibale Temps de lecture : 2 min. Alors qu’elle a du mal à s’approvisionner hors du pays, les frontières étant encore relativement hermétiques, l’armée rebelle essaie maintenant de fabriquer ses propres armes, avec les moyens du bord. En juillet, c'est au tour de la province de Deraa qui était alors contrôlé à 70 % par les rebelles. Recherchez parmi des Armée Syrienne Libre photos et des images libres de droits sur iStock. Jamal Maarouf, ancien commandant du Front révolutionnaire syrien, affirme que le Front al-Nosra « prélève une partie de l’aide humanitaire et militaire » envoyée à l'ASL[139]. La diffusion de ces images choquantes a évidemment provoqué l’indignation, au sein même de l'Armée syrienne libre. Premier logo de l'Armée syrienne libre, utilisé jusqu'en octobre 2011[11],[12]. Mais à trois reprises, elles ont ensuite disparu, confisquées ou prétendument volées par des groupes liés à, « un effort multinational actif et complexe [...] pour transporter les armes depuis la Libye jusqu’aux combattants de l’opposition syrienne », « l'aide militaire saoudienne est surtout livrée à des groupes d'anciens militaires déserteurs, comme le Conseil militaire révolutionnaire, dirigé par le colonel Abdel Jabbar al-Oqaidi, à, « l’ASL a été une franchise commode. Facebook Twitter LinkedIn. La structure de coordination a disparu et l’armée s’est transformée en une multitude de brigades régionales ou locales, souvent commandées par des chefs autoproclamés réticents à toute ingérence extérieure. Les livraisons sont toujours en cours à l'été 2014[117]. Nous recevons une aide humanitaire d'urgence, mais à l'heure où je vous parle, aucune arme n'est arrivée »[68]. En outre, beaucoup d’entre eux quittent publiquement ou non l’ASL pour rallier les groupes dits islamistes », « L'ASL n'a jamais vraiment existé. Depuis deux jours, une vidéo circule sur la toile, montrant ce qui semble être un cas de cannibalisme en Syrie. Cette recherche de structuration à l’échelle nationale s’est faite avec une volonté de professionnalisation du combattant. Nous ne voulons pas de guerre civile », « va prendre en charge le paiement des salaires fixes de tous les officiers, soldats et résistants membres de l'ASL », « une véritable catastrophe humanitaire », « les premiers contingents syriens formés à la guérilla par les Américains en, « cette opération de secours est du bidon, les salafistes se sont servis dans les entrepôts », « Depuis l’hiver 2014, nous nous battons sur deux fronts, contre le régime et contre l’, « aux dires des familiers du terrain, l’ASL a [...] subi de plein fouet à partir d’octobre dernier les frappes aériennes russes et les offensives terrestres de l’armée syrienne, de ses alliés du Hezbollah et des miliciens afghans, entraînés par l’Iran et coordonnés sur le terrain par les conseillers russes », « n'existe plus aujourd’hui de manière significative que dans la ville d’Alep, dans le nord de la province du même nom, à, « les alliés libanais du régime syrien, comme le Hezbollah, accusent certaines forces politiques implantées dans le village d’Ersal de faciliter la contrebande d'armes destinées aux insurgés syriens », « tout ce qui aboutirait à transférer la lutte en Syrie vers le Liban serait une erreur », « Les défections n’ont pas pesé sur l’armée syrienne : la majorité des combattants rebelles n’est pas formé de militaires défectionnaires mais de civils ayant pris les armes », « dont 50 000 à 60 000 sont actifs sur le terrain », « le Front des Hommes libres de la Syrie », « ne possèdent pour l'essentiel que ce qui constitue l'équipement de base des unités de l', « Pour une partie, ce sont des mensonges. Les opinions, assertions et points de vue exprimés dans les commentaires sont le fait de leur auteur et ne peuvent en aucun cas être imputés à RT. En cas d’urgence et en dernier recours, chaque soldat porte néanmoins une grenade. L’Armée Syrienne Libre (ASL) avait été créée en tant que branche armée reconnue de l’opposition au régime de Bachar al-Assad après le déclenchement de la guerre interne en Syrie. Le lendemain, des combats opposent la 13e division de l' Armée syrienne libre à 3 000 djihadistes du Front al-Nosra et de Jound al-Aqsa. Constituée d'anciens officiers de l'armée syrienne, elle se caractérise, pour l'essentiel, par son nationalisme et son objectif démocratique[3],[9]. L'Armée syrienne libre (ASL) (arabe : الجيش السوري الحر, al-jayš as-suri al-ħurr) est un rassemblement de groupes rebelles formé le 29 juillet 2011 lors de la guerre civile syrienne. En janvier 2013, Rami Abdel Rahmane, directeur de l'Observatoire syrien des droits de l'homme, indique : « Les défections n’ont pas pesé sur l’armée syrienne : la majorité des combattants rebelles n’est pas formé de militaires défectionnaires mais de civils ayant pris les armes »[65]. Le président du Conseil national syrien Burhan Ghalioun révèle également que son organisation a formé un corps militaire pour rassembler les rebelles du pays sous un contrôle unifié, ce qui est très mal reçu au sein de l'ASL qui n'a pas été tenue au courant[19]. Ils seraient assistés dans cette tâche par « des Forces spéciales britanniques et une poignée de Français »[94], ainsi que le général Ahmed Al-Na'ameh, un ancien officier de l'armée régulière[38]. Constituée d'anciens officiers de l'armée syrienne, elle se caractérise, pour l'essentiel, par son nationalisme et son objectif démocratique . En mars 2013, le chercheur suédois Aron Lund publie un article dans lequel il affirme que l'Armée syrienne libre n'existe pas en tant que telle, mais fut à l'origine « a branding operation » (une opération de nom de marque), avançant que la plupart des brigades se sont réclamées de l'ASL sans être réellement sous son commandement et que le nom d'Armée syrienne libre sert davantage à distinguer les brigades non-idéologiques des groupes djihadistes. Logo de l'Armée syienne libre, adopté en novembre 2011[12],[13]. En septembre 2012 également, Philip Giraldi, ancien agent de la CIA à Istanbul, confie au journal turc Hürriyet qu'une cinquantaine d'agents de renseignement de nationalités américaine, française, allemande, britannique et peut-être grecque travaillent à la frontière turco-syrienne depuis la base aérienne d'Incirlik, avec de nombreux espions et informateurs à leur service et une importante coordination des services de renseignement turcs, notamment dans les rencontres avec les représentants de l'ASL[123]. Je ne crois pas qu’il puisse s’agir d’un hasard. À l'automne 2013, seules deux brigades de l'ASL ont une ampleur nationale et constituent son ossature : Ahfad Al-Rassoul (« les Petits-Fils du Prophète ») et Jabhat Ahrar Souria (« le Front des Hommes libres de la Syrie »)[3]. Retrouvez toute l'actualité internationale et les décryptages Armée syrienne libre à lire et à revoir en replay sur France 24 Il y a de nombreux mouvements isolés. Fin 2011, les civils constituent la majorité des troupes de l'ASL, en particulier des jeunes appelés qui ne sont pas retournés à leurs casernes à l’issue d’une permission et des retraités de l'armée[17],[18], rejoints par des déserteurs de l'armée[59]. International . La commission d'enquête sur la Syrie des Nations unies alerte à son tour sur ce sujet en août en assurant avoir rassemblé des preuves du non-respect de l'engagement pris par Riyad al Asaad, chef de l'ASL, de ne pas utiliser des enfants à des fins militaires[128]. Le 31 octobre 2012, le CNS publie le montant et l'origine des sommes qu'il a reçues de l'extérieur, soit 40,4 millions de dollars, dont 7 % (soit 2,8 millions) sont allés à l'ASL[75]. Syrie : l'Armée libre attend son heure 21h14 , le 17 décembre 2011, modifié à 10h55 , le 19 juin 2017 En décembre 2013, le Royaume-Uni suspend ses livraisons à l'ASL à la suite de la perte de contrôle de ses bureaux et de plusieurs entrepôts[47]. Selon l'universitaire Thomas Pierret, les brigades de l'ASL « ne possèdent pour l'essentiel que ce qui constitue l'équipement de base des unités de l'armée syrienne (kalachnikov, fusil de précision Dragunov, mitrailleuse PKT et lance-roquettes RPG-7) et n'ont généralement acquis d'équipements plus sophistiqués (en particulier des missiles antichars Metis et Kornet) qu'en les capturant aux forces régulières ou en les achetant à des officiers corrompus »[73]. Le Conseil national syrien évaluait alors entre 70 000 et 100 000 l e nombre des combattants de cette guérilla "fragmentée et indisciplinée", répartie en une trentaine de brigades (une quinzaine seulement ont été … Atteintes à la dignité humaine et aux libertés, « [La] tâche [de l'ASL] doit se limiter à la protection des manifestants, ils ne doivent pas mener des opérations. Plusieurs livraisons ont ainsi eu lieu au cours de l'année 2013, comprenant notamment des mitrailleuses de calibre 12,7 mm, des lance-roquettes, des gilets pare-balles, des jumelles de vision nocturne et des moyens de communication. En zone contrôlée par le gouvernement syrien : 8 % « Complètement positive », 7 % « Plutôt positive », 27 % « Plutôt négative », 57 % « Complètement négative », 1 % « Ne sais pas » ; En zone contrôlée par les rebelles : 27 % « Complètement positive », 30 % « Plutôt positive », 15 % « Plutôt négative », 26 % « Complètement négative », 2 % « Ne sais pas » ; En zone contrôlée par l'Armée syrienne libre : 37 % « Complètement positive », 29 % « Plutôt positive », 9 % « Plutôt négative », 24 % « Complètement négative », 1 % « Ne sais pas » ; En zone contrôlée par l'État islamique : 22 % « Complètement positive », 23 % « Plutôt positive », 15 % « Plutôt négative », 36 % « Complètement négative », 4 % « Ne sais pas » ; En zone contrôlée par les Kurdes : 37 % « Complètement positive », 29 % « Plutôt positive », 9 % « Plutôt négative », 24 % « Complètement négative », 1 % « Ne sais pas » ; Ensemble de la Syrie : 18 % « Complètement positive », 18 % « Plutôt positive », 20 % « Plutôt négative », 43 % « Complètement négative », 1 % « Ne sais pas ». Des passages de cet article sont désuets ou annoncent des événements désormais passés. En février 2013, l'ASL prend le contrôle d'une base aérienne, al-Jarrah, située près d'Alep : c'est la première fois depuis le début de la guerre civile que des avions militaires susceptibles de fonctionner tombent entre les mains des rebelles[74]. Son rôle dans la série. Parmi les signataires figurent de très proches collaborateurs de l'Union des organisations islamiques de France (UOIF) comme Youssef al-Qaradâwî, Rached Ghannouchi ou encore Issam al-Bachir (ancien ministre des Affaires religieuses au Soudan et membre du Conseil européen de la fatwa et de la recherche)[126]. D'après Rifaat el-Assad, l'armée régulière aurait même « alimenté en armes sophistiquées et en munitions l'armée libre »[72]. La nature des liens entre l'armée syrienne libre et cette brigade n'est pas clairement identifiée. Selon des informations circulant sur les réseaux sociaux, la France lui aurait accordé l'asile. Abdul Razzak Tlass, l'ancien chef de la brigade Omar al-Farouq, de l'armée syrienne libre, a été vu à Paris il y a quelques jours. Désactiver cette option nous empêchera de mesurer l’audience, de faire des statistiques et d’améliorer la qualité de nos services. En septembre 2015, la brigade Tajamu’Al-Izza, affiliée à l'ASL et habilitée à recevoir des missiles antichars pas les États-Unis, est touchée par des frappes russes d'après des officiels américains, tandis que la Russie affirme avoir ciblé l'État islamique[52]. Les groupes djihadistes Front al-Nosra et Ahrar al-Cham prêtent main-forte aux rebelles de l'ASL contre les troupes du régime syrien et se sont avérés d'une grande utilité pour ces derniers lors de la bataille d'Alep. 2016-07-19 21:25:49 UTC. Peu après, le Congrès approuve en secret le financement de la livraison, via la Jordanie, d'armes légères en direction, pour l'essentiel, des factions modérées, non islamistes de la rébellion syrienne, situées dans le sud du pays. En mars 2016, l'universitaire Ziad Majed évalue les effectifs de l'ASL à « environ 30 000 hommes »[9]. Pour Charles Lister, chercheur au Middle East Institute, l'ASL rassemble 60 000 hommes en mars 2012, soit environ 50 % des forces rebelles[2]. ... l'armée syrienne libre, a été vu à Paris il y a quelques jours. Certes il existe des groupes jihadistes comme le Front al-Nosra qui ont déclaré leur allégeance à Al Qaïda et qui mènent des combats contre les troupes du régime, parfois en coordination avec l’Armée syrienne libre (ASL), parfois contre son avis. Vous pouvez également préciser les sections à actualiser en utilisant {{section à actualiser}}. Fin 2015, le chercheur américain Charles Lister estime que l'ASL compte 45 000 hommes, dont 25 000 au sein du Front du Sud et 20 000 dans le reste de la Syrie[69]. C’est que pour l’OTAN, l’Armée syrienne libre était et est composée de « modérés » [ 3 ]. Cette fusion intervient peu après l'enlèvement par les services de renseignement syriens du lieutenant-colonel Huseïn Harmouch, chef et fondateur du MOL qui avait refusé de collaborer avec les Frères musulmans[17],[18] et qui devait être le porte-parole officiel de l'ASL avant son kidnapping[19]. Mediapart souligne en mars 2016 que « l'absence de coordination et de hiérarchie entre les multiples groupes qui constituent aujourd’hui l’ASL rend très difficile le suivi du financement » fourni par la coalition[9]. Il y a eu un état-major composé d'une cinquantaine de généraux déserteurs, majoritairement réfugiés en Turquie. Quelques jours plus tard, un colonel déserteur fonde l’Armée syrienne libre (ASL), officialisant ainsi la lutte armée contre le régime. Une photo diffusée sur Facebook le 11 juillet dernier le montre avec un journaliste algérien, Anwar Malek, dans une rue parisienne. En août 2012, Hassan al-Mouqdad, issu d'une puissante famille chiite proche du Hezbollah, « sniper à la solde de Damas » selon ses ravisseurs, est kidnappé par des hommes se réclamant de l'ASL. Vous ne recevrez pas moins de publicités, mais des publicités ne correspondant pas nécessairement à vos centres d’intérêt. La CIA et le Département d'État américain travaillent également avec les alliés du Golfe pour aider l'Armée syrienne libre à développer des routes logistiques et faire passer du matériel en Syrie. Adb al razak tlass commandant #photo © Caroline POIRON https://t.co/yz5zVapZnZpic.twitter.com/5BrCFelGBt. Les Français et les Américains auraient demandé aux brigades de l'ASL auxquelles ils donnaient des missiles de filmer leur utilisation en vidéo afin de s'assurer de leur bon usage[9]. La structure de coordination a disparu et l’armée s’est transformée en une multitude de brigades régionales ou locales, souvent commandées par des chefs autoproclamés réticents à toute ingérence extérieure. Les armes traversent la frontière avec la bénédiction des Turcs à Bab al-Hawa, puis sont stockées à l’entrée du territoire syrien, proche de la localité d’Atmeh. Les avions spécialement affrétés pour l'occasion décollent vers la Turquie ou la Jordanie, où les armes sont ensuite introduites clandestinement en Syrie. Abdul Razzak Tlass, l'ancien chef de la brigade Omar al-Farouq, de l'armée syrienne libre, a été vu à Paris il y a quelques jours. En juillet 2012, Fahd el-Masri, porte-parole de l'ASL à Paris, affirme que l'ASL dispose seulement d'armes légères et moyennes[25]. Mai 15 2013. Le 31 juillet 2012, l'ASL diffuse une vidéo où l'on voit certains de ses membres exécuter sommairement des miliciens au service du régime de Bachar el-Assad, ce qui déclenche de nombreuses critiques. À l'été 2013, Selim Idriss revendique seulement 80 000 hommes équipés d'armes légères, « dont 50 000 à 60 000 sont actifs sur le terrain »[67],[68]. Aron Lund précise alors que la problématique abordée dans son article était que parmi les porte-parole ou les dirigeants de l'Armée syrienne libre sur lesquels s'appuient les médias, peu d'entre eux représentent un segment important des combattants sur le terrain[147]. From terrorism in Syria to tourism in France! Le 1er avril 2012, le Conseil national syrien (CNS), lui-même financé par des pays étrangers, annonce qu'il va payer les salaires des membres de l'ASL[23]. Le 20 juillet 2012, Adnan al-Assadi, ministre irakien de l'intérieur, accuse des membres de l'Armée syrienne libre d'avoir coupé les jambes et les bras d'un lieutenant-colonel de l'armée syrienne, et exécuté 22 soldats syriens[130]. Même la condamnation du porte-parole de l'Armée Syrienne libre n'y peut rien changer. Par Will Summer le 20 août 2016 • ( 0) Par Steven Sahiounie, le 10 août 2016 La journée qui a précédé le 11 septembre 2001 ressemblait à toutes les journées ordinaires de New York City. À l'automne 2012, le soutien de l'Arabie saoudite se déplace en Jordanie, plus précisément à Amman où les armes financées par le royaume wahhabite parviennent par l'intermède d'avions croates, pour venir en aide à des nationalistes laïcs. La transformation de l’Armée Syrienne Libre. Le mois suivant, il se déclare finalement favorable à l'armement de l'ASL par l'extérieur[24]. Le commandement de l'état-major de l'ASL réagit dans un communiqué en affirmant : « Tout acte contraire aux valeurs pour lesquelles le peuple syrien verse son sang (...) ne passera pas sous silence et le coupable sera puni sévèrement, même s'il s'agit d'un membre » de la rébellion. Outre une probable assistance israélienne dans une offensive de l'ASL au sud de la Syrie en août 2013[41], un commandant de l'ASL, arrêté en juillet 2014 par le Front al-Nosra, a révélé à ses ravisseurs qu’il a collaboré avec Israël en échange d’aide médicale et militaire (armes antitanks soviétiques et armes légères), à condition de sécuriser la zone où se trouve la barrière israélienne[120].
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