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drapeau kurde pkk

En plus de la perte humaine et des déplacements forcés, ces affrontements causent une immense destruction urbaine. »[43]. Le texte, qui suit les recommandations d'Öcalan, définit l'arrêt de la lutte armée comme la seule voie possible à la démocratisation de la Turquie et la résolution du problème kurde[59]. À tous les niveaux, du simple combattants au commandant, les militants du PKK sont constamment soumis à la critique et sommés de faire leur autocritique. Au cours des combats, 150 combattants du PKK et plus de 200 combattants de la YNK perdent la vie. Pour se libérer, les femmes doivent – tout comme les hommes – désapprendre ces attitudes, et ainsi hommes et femmes seront recréés[23]. Le premier septembre 1998, le PKK décrétera le troisième cessez-le-feu. Les corps des défunts ne seront jamais rendus à leur famille[107]. Le deuxième congrès du PKK se tient du 20 au 25 août 1982, en présence d'Abdullah Öcalan à Latakiya en Syrie dans un camp de l'OLP près de la frontière jordanienne. Pourtant, le 1er juin 2004, Zübeyr Aydar, président du Kongra-Gel, proclame la fin du cessez-le-feu. Le PKK est actif principalement en Turquie, en Syrie, en Iran et en Irak. Dans une tentative de se rapprocher des organisations de la gauche turque, le PKK crée en 1982 un Front uni de résistance anti-fasciste (Faşizme Karşı Birleşik Direniş Cephesi), connu également sous le nom de Bir-Kom, auquel se joint Dev-Yol. Ainsi, le 10 juillet 1991, à Diyarbakir, 25 000 personnes suivent le cortège funèbre du député kurde Vedat Aydin, disparu puis retrouvé assassiné après avoir été torturé. La décision est prise de passer de « l'étape de la défense stratégique » à celle de « l'équilibre stratégique ». La part que représente le narcotrafic dans les sources de financement des activités du PKK ne fait pas l'objet d'un consensus. Le congrès fondateur du PKK a lieu les 26 et 27 novembre 1978 dans le petit village de Fis (district de Lice, province de Diyarbakir). Une série de lois (notamment la loi no 413 de 1989) qui autorisait le gouverneur régional à procéder à des déportations est votée[31]. Le PKK dénonce ces négociations, qu'il considère être au détriment de l’ensemble des Kurdes. D'un autre côté, l'organisation dispose déjà d'une trentaine de militants armés, prêts à lancer la « guerre révolutionnaire contre les féodaux », c'est-à-dire à affronter les aghas et les tribus kurdes considérées comme fidèles au régime, dès que cela semblerait nécessaire. Il se tient fin mars et début avril 2005. Celui qui verse de l'eau sur le feu est un traître ! Stêrka Sor (Étoile rouge) est un groupuscule maoïste kurde, dirigé par Alaattin Kaplan. Le Parti des travailleurs du Kurdistan (Partiya Karkerên Kurdistan - PKK) a été formé en 1978 par Abdullah Öcalan dans l’intention de créer un Etat kurde indépendant. Le conflit reprendra à la suite de l'assassinat de deux policiers turcs en représailles de l'attentat de Suruç. Lorsqu'il demande au PKK de suspendre la guerre et de renoncer à l'idéal d'un Kurdistan indépendant, lors de son procès, le parti subit une certaine confusion. À partir de 1990, commence une vague de révoltes populaires urbaines : les serhildan (« soulèvement »). Ils mettent en fuite la gendarmerie, vident les prisons et distribuent des tract, savant de se replier en fin de journée. Dans cet ordre d'idée est fondée l'Académie militaire Mahsum Korkmaz, du nom du commandant de l'unité qui s'est emparé de la petite ville d'Eruh pendant plusieurs heures le 15 août 1984. Lors du même congrès est aussi fondé le Front de Libération Nationale du Kurdistan (ERNK), appelé à structurer la société civile autour du Parti[62]. Parmi les vingt-huit membres fondateurs, il y a déjà deux femmes : Kesire Yıldırım et Sakine Cansiz[37],[38]. Selon cette conception, le pouvoir matriarcal a été renversé à la fin de la période néolithique, il y a environ 5 000 ans, et a été remplacé par le système patriarcal, qui se serait alors institutionnalisé dans tous les domaines de la vie[23]. Le 28 janvier, il est à nouveau envoyé à Moscou. Il suspend le cessez-le-feu unilatéral proclamé en 1999[62]. Le MIT a aussi créé de toutes pièces des mouvements concurrents d'inspiration nationaliste kurde ou islamiste (Türkiye Hizbullahı et Kürt Hizbullahı). Entre avril et août 1990, plus de 300 personnes perdent la vie lors des affrontements entre l'armée et la guérilla. L'Allemagne, où la diaspora est nombreuse, a été divisée en trois puis en quatre provinces, la France deux, la Suisse une, mais le Benelux et l'ensemble des pays scandinaves n'en forment qu'une seule chacun[139]. Tout comme les DDKO, les DDKD se concentrent sur le militantisme culturel, destiné à rassembler la jeunesse kurde et à lui faire prendre conscience de son identité[20]. Les HPG (Hêzên Parastina Gel - Forces de défense du peuple, actives au Kurdistan de Turquie et au Kurdistan irakien), les YPG (Yekîneyên Parastina Gel -Unités de défense du peuple, actives en Syrie) et les HRK (Hêzên Rojhilatê Kurdistan - Forces du Kurdistan oriental, actives en Iran) constituent le « front militaire » du KCK[77]. Au début de l'automne 1958, un groupe d’intellectuels de Diyarbakir lance un petit journal quotidien, Ileri Yurt (Le pays avancé). Les 26 et 27 novembre 1978 a lieu dans le petit village de Fis (district de Lice, province de Diyarbakir) le congrès fondateur du PKK. Dès 1966, le gouvernement turc, alarmé par la timide résurgence du mouvement national kurde, met sur pieds des unités de « commandos », qui ratissent d'un bout à l'autre le Kurdistan de Turquie, pour intimider les paysans et les mettre en garde contre toute velléité de prendre exemple sur les Kurdes d'Irak[14]. Le deuxième Congrès du PKK a lieu au Liban en 1982[26]. Même à l'heure de la lutte contre Daesh, le président Erdoğan a continué de rappeler que, pour lui, il n'existait aucune différence entre le PKK et l'État Islamique[213]. En mars 2005, la Turquie achète à ce pays dix drones d'observation, de type Heron, pour un total de 150 millions d'euros. D'autre part, il procède à une refondation du PKK, dont la tâche sera de servir de « cerveau et de centre idéologique » au nouveau système confédéral[102]. En 1994, toute référence au marxisme-léninisme est abandonnée[119],[120]. En 1995, Béatrice Fournier-Mickiewicz, spécialiste des mouvements de guérilla, considère que dans le cas du PKK, « [les] profits tirés du commerce de drogue pour financer leurs activités militaires [sont] sans doute peu importants »[164]. La première idée, fondamentale, est que le Kurdistan est une colonie. Il y sera bientôt suivi par plusieurs centaines de militants. Dans le cadre d'un processus de paix avec Ankara, les combattants du Parti des travailleurs du Kurdistan commenceront à rejoindre leurs bases arrières du nord de l'Irak à partir du 8 mai. Au début des années 1990, lorsque la vague des serhildan et sa répression entraîneront un afflux massif de volontaires urbanisés, lycéens et universitaires dans la guérilla, cette politique aura des répercussions particulièrement graves : il ne sera pas rare que des commandants, face aux critiques de nouveaux combattants instruits, accusent ceux-ci d'être des « agents »[69],[111],[112]. De plus, le 24 mai, l'exécution de trente soldats turcs désarmés sur l'ordre du commandant Shemdin Sakik, en désaccord avec Öcalan, renforce Ankara dans sa position de refus du dialogue, et motive l'armée à déclencher une suite de bombardements intensifs au cours desquels plus de cent combattants du PKK sont tués. Le programme adopté en 1995 définit le « socialisme réellement existant » (l'ex-bloc soviétique) comme « l’étape la plus basse et la plus brutale du socialisme » et explique ainsi ses défauts : « en ce qui concerne son aspect idéologique, il s’est abaissé jusqu’au dogmatisme, le matérialisme vulgaire et le chauvinisme grand-russe ; son aspect politique c’est la création d’un centralisme extrême, le gel de la lutte de classes démocratique et l’élévation des intérêts de l’État au rang de seul facteur décisif ; son aspect social c’est la restriction de la vie libre et démocratique de la société et de l’individu ; son aspect économique, c’est la domination du secteur étatique et l’incapacité de dépasser la société de consommation qui imite les pays étrangers ; enfin, son aspect militaire c’est la priorité à l’armée et à l’armement sur tous les autres domaines »[23]. Un cessez-le-feu est décrété en 2013 avec la Turquie à la suite de négociations mêlant les services secrets turcs, des responsables du PKK et du Parti démocratique des peuples et dans une moindre mesure Abdullah Öcalan qui est consulté depuis sa cellule de prison. Cependant, il est notable que la Turquie a cependant largement bénéficié des services du renseignement israéliens, particulièrement dans les années 1996-1999, lorsque les satellites espions Ofeq-5 ont recueilli des informations sur les bases du PKK en Syrie, ainsi que sur les sites possibles de déploiement de missiles S-300 sur le territoire chypriote. Se faisant passer pour une femme enceinte, elle fait exploser sa charge au milieu d'une parade militaire. La seule violence légitime, déclare maintenant le PKK, c’est ce type de violence défensive[23]. Ils ont lieu souvent aux moments du Newroz, mais aussi à l'occasion des enterrements de guérilleros du PKK ou de personnalités civiles, comme de nombreux membres du Parti du travail du peuple (HEP), pourtant légal, assassinées par les forces de contre-guérilla. Les militants du PKK, en retour, participeront à la résistance palestinienne lors de l'invasion du Liban par l'armée israélienne en 1982. Au tournant des années 1990, la Turquie engage une nouvelle politique de déplacement de la population kurde. Un drapeau du PKK flotte au-dessus du camp où les graffitis pro-PKK ornent également les murs ... Ne faites pas l’amalgame entre le terrorisme du PKK et le peuple kurde En effet, la grande majorité des intellectuels et des étudiants kurdes estiment que leur priorité doit désormais être le rassemblement de la jeunesse kurde et la prise de conscience de sa propre identité. Stickers et autocollants sur le thème Kurde, pour ordis, cahiers, gourdes et + Créations d'artistes Jusqu'à -50 % Fond blanc ou transparent Le PKK possède une branche militaire active au Moyen-Orient et une branche politique dont les activités se déploient du Moyen-Orient à l’Europe, en passant par l’univers carcéral turc. Si dans un premier temps les services russes disent accepter de l'emmener en Arménie, ils décident ensuite de le déposer au Tadjikistan. En Europe, les structures du PKK (et du KCK) suivent les mêmes principes (zones - provinces - régions - secteurs), à la différence que celles-ci n'obéissent pas à la géographie mais à l'importance de la diaspora kurde. Depuis ce jour, la date du 15 août est célébrée chaque année dans la population kurde comme une sorte de deuxième fête nationale[38],[46]. À la suite du retrait des troupes de l'ARGK du Kurdistan de Turquie pour le Kurdistan irakien, environ 5000 combattants se retrouvent stationnées dans la région du Mont Kandil, officiellement contrôlée par la YNK (Yekîtiya Niştimanperwer a Kurdistan, Union patriotique du Kurdistan), le parti dirigé par Jalal Talabanî. Ils doivent systématiquement reconnaître leurs erreurs et leurs insuffisances et expliquer publiquement comment ils comptent s’améliorer. Il est fondé par un avocat d'Urfa, Faik Bucak (qui sera assassiné en 1966 par la police turque), et par un comptable de Diyarbakir, Saït Elçi (tué en 1971 au Kurdistan d'Irak dans des circonstances mystérieuses)[14]. Un des aspects qui différencie la lutte du PKK des autres rébellions kurdes est l’importance de la participation des femmes à tous les niveaux du mouvement. Au cours des grandes manifestations populaires des années 1990-1992, les Serhildan, les femmes participent massivement et n'hésitent pas à faire face aux forces turques dans les rues[23]. Huit soldats turcs sont tués, 33 sont blessés. Quand il a vu les succès militaires en Syrie, il s’est dit que finalement, l’action militaire fonctionnait. L'ARGK est dissoute et remplacée par les Hêzên parastina Gel (HPG, Forces de défense du peuple), qui doivent se limiter à incarner des « forces armées de légitime défense ». Le 16 avril 1993, Öcalan annonce la prolongation du cessez-le-feu lors d'une nouvelle conférence de presse tenue à Bar Elias au Liban. Contrairement aux théories marxistes qui se basent sur les aspects économiques, l'accent est mis avant tout sur les questions de mentalité et de personnalité. Aussi multiplie-t-il les menaces. Ils se tournent notamment vers le PKK, en raison de communiqués menaçants de la part de l'organisation à la suite de l'interdiction du PKK par le gouvernement suédois. Pour les combattants d'origine paysanne, le congrès est l'occasion pour eux de « prendre le pouvoir ». Madeleine Albright arrive à Moscou le 20, pendant qu'Öcalan débarque à Bichkek, où il est maintenu en résidence surveillée pendant huit jours dans une ferme. Le 21 novembre, le secrétaire du département d'État américain, Madeleine Albright, publie un communiqué intimant à tout État concerné de refuser l'asile à Öcalan. Abdullah Öcalan, lui, a rejoint le Liban déjà en juillet 1979. Le Parti des travailleurs du Kurdistan (en kurde : Partiya Karkerên Kurdistan, abrégé PKK, prononcé [pɛ.kɛ.kɛ]), formé en 1978, est une organisation politique armée kurde. Le 13 février 1988 commence la série des « procès de Düsseldorf » : accusés de divers délits, des dizaines de cadres et de sympathisants de l’organisation sont arrêtés, jugés et emprisonnés. Les objectifs politiques sont redéfinis : autonomie culturelle pour les Kurdes et transformation de la Turquie en une République démocratique. Les développements économiques ont urbanisé le Kurdistan. De fait, le YDG-H se métamorphose en une nouvelle force armée, les YPS (Unités de défense civile)[102]. Après avoir mis un terme au cessez-le-feu, les cadres de l'ARGK se réunissent en Conférence. Les affrontements avec le PKK redoublent alors d'intensité. Il se retrouve confiné dans sa résidence, pendant qu'on lui propose une étrange solution, qui consiste à lui faire demander l'asile politique aux Seychelles. D'autre part, ces organisations sont aussi toutes acquises à la théorie de la « révolution par étapes », c'est-à-dire qu'elles considèrent que la Turquie est elle-même une « nation opprimée » et que la priorité est de mener la « révolution nationale démocratique pour libérer la patrie turque de l’impérialisme ». Il y dépose une demande d'asile politique. Mais devant le refus des Pays-Bas et sous la pression des Italiens, le 16 janvier 1999, Öcalan s'envole à nouveau pour Moscou.

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