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histoire jérusalem résumé

Le gouvernement israélien considère alors Jérusalem comme capitale du nouvel État d'Israël mais cette décision n'est pas reconnue par la communauté internationale, qui prévoyait que la ville et sa banlieue soit une zone corpus separatum, gérée comme tel, depuis l'adoption le 29 novembre 1947 par l'assemblée des Nations Unies de la création d'un État juif, d'un État arabe et d'une zone internationale, celle de Jérusalem, à la fin de la présence britannique en Palestine, prévue au 15 mai 1948. Le détail indique 15 % de chrétiens et 12 % de juifs. J.-C., comportant un texte en hébreu archaïque qui dit notamment : « que YHWH te bénisse et te garde, que YHWH fasse pour toi rayonner son visage[54],[55] ». La différence s'explique par une raison géographique : la partie nord est plus arrosée et située sur les voies de communication, la partie sud est plus sèche et plus difficilement accessible. Les signes archéologiques d'un État centralisé tel que le décrit le récit biblique, repérables dans la gestion de la production agricole et dans la pratique de l'écriture, n'apparaissent que deux siècles plus tard : c'est ce qu'a montré toute une série d'études. Si les zones proches du no man's land restent marginalisées, le quartier du gouvernement est bâti dans les années 1950 et 1960 et le musée d'Israël avec les prestigieux manuscrits de la mer Morte est inauguré en 1965[155]. Si Saladin ne fait guère construire de nouveaux monuments à Jérusalem, il y établit des institutions pérennes souvent dans des bâtiments existants telles qu'un hôpital et lieu d'enseignement de la médecine dans l'église Sainte-Marie-Majeure, des médersa dont une dans l'église Sainte-Anne, des bains publics dont celui de la piscine de Mamilla ou encore les waqfs[124]. J.-C., le roi Ézéchias fit creuser à Jérusalem un tunnel pour amener l'eau de la source du Gihon dans la ville, ce qui assure l'approvisionnement en eau en cas de siège. Profitant du rare état de prospérité que connaît son royaume quand il en prend le contrôle et de ses revenus considérables[72], il embellit la ville et s'y construit un palais. Deux thèses s'opposent sur l'importance de Jérusalem à l'époque : selon certains historiens, dont Zecharia Kallai et Hayim Tadmor, Jérusalem était la capitale d'un important royaume cananéen ayant une influence régionale comparable à d'autres grands royaumes cananéens tels que celui de Shechem ; d'autres au contraire, tels que Nadav Naʾaman ou Ann E. Killebrew, soutiennent qu'au XIVe siècle av. Avec la sixième croisade, Jérusalem redevient franque en 1229 après l'accord conclu pour dix ans et demi entre Frédéric II du Saint-Empire et le sultan d'Égypte Al-Kâmil. En 1845 le consul de Prusse à Jérusalem évalue la population de la ville à 15 510 âmes dont 7 120 Juifs[142]. La domination romaine Au Ier s., la Palestine fait partie de l’Empire romain. Carte montrant Jérusalem entre 1948 et 1967. Si, pour le politologue Bruno Tertrais directeur adjoint de la Fondation pour la recherche stratégique, le terme « « reconnaissance » n'a pas de signification juridique [car] les États sont souverains dans le choix de leur capitale »[170], le 21 décembre 2017, l'Assemblée générale des Nations unies adopte un texte affirmant qu’une décision sur le statut de Jérusalem « n’avait pas de force légale » et que la question de Jérusalem devait faire partie intégrante d’un accord de paix final entre Israéliens et Palestiniens[171]. Son fils Soliman le Magnifique pourvoit la ville d'aqueducs, de portes et de murs construits entre 1537 et 1540[135], qui existent encore aujourd'hui, et donne à la vieille cité l'aspect qu'elle a gardé pendant quatre siècles. Pour le début d'une production massive de poteries, voir Zimhoni[29], pour l'industrialisation de la production agricole, voir Eitan-Katz[30], pour le début d'une utilisation des poids marqués (pesage) voir Kletter[31], pour l'introduction de l'écriture voir Jamieson-Drake[32], pour l'écriture sur ostraca voir Sass[33] et Renz[34], pour l'impression des sceaux voir Avigad et Sass[35]. Il s'agit d'une des plus anciennes inscriptions connues en hébreu archaïque. La stèle de Tel Dan fait clairement référence à deux royaumes. Il se présente comme le seul en qui l’Égypte puisse vraiment avoir confiance. J.-C., entraînant la destruction quasi complète de la ville par Titus[note 8]. jordanie   En 661, Muʿawiya se fait proclamer calife à Jérusalem, devenant ainsi le premier calife omeyyade[106]. Il s'agit de deux amulettes découvertes sur le site de Ketef Hinnom au sud de la vieille ville, datées vers 600 av. En 1071 commence le siège de la ville menée par les Turcs seldjoukides de Atsiz ibn Abaq. L'objet initial des croisades a donc fini par aboutir avec ce retour au statu quo ante. Un tremblement de terre, en 1033, détruit la mosquée qui est reconstruite par le calife Ali az-Zahir. J.-C., trouvées sur le site de Kuntillet 'Ajrud dans le nord-est du Sinaï, ainsi qu'une inscription datée de la monarchie tardive, trouvée en Juda dans la Shefelah, voient en Ashera la parèdre de YHWH[53]. Les pèlerinages peuvent reprendre. Il note aussi que les Juifs y vivent de la charité et que l'accès à l'Esplanade des Mosquées est défendu à tout chrétien sous peine de mort[139]. Mais, la cinquième croisade menaçant Jérusalem et de peur que les Francs ne puissent soutenir un long siège s'ils reprenaient la ville, Malik al-Mu'azzam Musa en fait démanteler les fortifications en 1219[127]. Et ce, alors même qu'Abdi-Heba a laissé des traces bien connues. Nebouzarradan, général de Nabuchodonosor, revient et prend définitivement la ville. A plusieurs reprises dans l'histoire, Jérusalem s'est retrouvée au coeur des pensées et des actes de milliers, voire de millions d'hommes. Le seul document archéologique dont nous disposons sur la royauté est la stèle de Tel Dan, découverte en 1993. J.-C.). De cette même époque date une puissante muraille de 7 mètres de large et 65 mètres de long découverte dans les années 1970 vers l'ouest de la ville et la colline de Sion, preuve d'un pouvoir royal bien établi[44]. Sous le gouverneur Zorobabel, le Temple est reconstruit. L'université hébraïque de Jérusalem rouvre à Guivat Ram en 1953 et le nouvel hôpital Hadassah emménage à Ein Kerem en 1961[155]. Nous ne savons pas ce qu'il est advenu de lui et de sa ville mais il s’ensuit une phase de déclin très marqué, comme dans toute la région, en raison de l’invasion des peuples de la mer. Pour Vincent Lemire aussi, l'absence de traces archéologiques peut-être expliquée par l'impossibilité depuis le xixe siècle de mener des fouilles sur l'esplanade même, mais la localisation du Premier Temple sur l'esplanade est hors de doute[40]. ©Electre 2021. En 1892, elle voit arriver le chemin de fer de Jaffa à Jérusalem (en). Les Juifs retrouvent leurs lieux saints à l'exception du mont du Temple où il leur est encore interdit de prier[158], sans que pour autant chrétiens ni musulmans ne voient l'accès à leurs lieux saints contesté ; l'accès à l'esplanade des Mosquées est parfois rendu plus difficile aux musulmans, dans les moments de tension. En 1187, après que Renaud de Châtillon a attaqué, malgré une trêve conclue entre Saladin et le royaume de Jérusalem, les routes musulmanes de commerce et de pèlerinage, et a menacé d'effectuer un raid sur La Mecque à l'aide d'une flotte sur la mer Rouge, Saladin attaque les croisés, capture Châtillon lors de la bataille de Hattin (4 juillet 1187) et le fait exécuter. Cette proclamation est ensuite lue en français, italien, hébreu, arabe, grec, russe et arménien, ce qui montre la variété des habitants de Jérusalem et constitue également la première utilisation officielle de l'hébreu en Terre d'Israël depuis la chute du Second Temple[150]. Histoire de Jérusalem Résumé Jérusalem a 4 000 ans. Le 6 juin, les Israéliens parviennent à relier la ville au reste du pays (route de Birmanie). chrétiens d'orient   Cyrus le Grand applique une large tolérance religieuse dans toute la région, qui prend un nouvel essor. Au ve siècle et au vie siècle, le caractère chrétien de la ville se renforce et le souvenir de la ville juive s'estompe. Le recensement ottoman de 1553-1554 fait état de 2 724 chefs de famille soit, selon Vincent Lemire, près de 14 000 habitants. Des inscriptions datées du VIIIe siècle av. Des familles exilées à Babylone rentrent à Jérusalem mais en petit nombre. Pourtant, comme le souligne Ronny Reich[27] d’imposantes fortifications datées de 1700 av. Surtout, il rénove le Temple et double la superficie de son esplanade, travaux dont le mur occidental constitue un des vestiges. L'archéologie montre que la ville est restée intacte, bien que très petite, ne couvrant que 3 à 4 hectares. J.-C. que Jérusalem tombe dans l'orbite égyptienne[9]. Quatrième de couverture. Alors que cette dernière progresse vers Jérusalem, l'Empire seldjoukide se déchire pour la succession au trône. Sa particularité historique fait d’elle une ville convoitée mais aussi un lieu important de pèlerinage, et à la fin du XIXème siècle un lieu … Ilan Sharon, Ayelet Gilboa, Elisabetta Boraretto, and A.J. Auteur : Le livre de Néhémie ne mentionne pas spécifiquement le nom de son auteur, mais les traditions juives et chrétiennes reconnaissent, toutes les deux, Esdras comme l’auteur du livre. L’histoire de Jérusalem au XIXème siècle diffère considérablement de celle des autres grandes villes ottomanes. Enfin, durant le règne d'Artaxerxès Ier (465-424), Néhémie reconstruit les murailles de Jérusalem. Cependant, un gouvernement autonome semble avoir existé à Mitzpah (à 13 km au nord de Jérusalem)[57]. J.-C., au cours des conquêtes du roi Touthmôsis III. La ville-État devient si puissante que d'autres villes-États concurrentes, aussi loin qu'Ashkelon, durent unir leurs forces pour en venir à bout. J.-C.). Pour Ronny Reich, à qui l'Israël Autority Association a confié la direction des fouilles de la Cité de David[24], 1000 av. Il s’agit de la période où le Roi de France, Saint Louis, livre un combat sans merci sur les terres d’Arabie. J.-C. et 301 av. Lors de cette bataille, il fait également prisonnier le roi Guy de Lusignan, met le siège devant Jérusalem le 20 septembre 1187 et enfin s'empare de la ville le 2 octobre 1187. historique   Les habitats des tout premiers Israélites sur les hautes terres ont été découverts dans les années 1990[16] : de 1200 av. Ceci est fondé sur le fait qu’à l’origine, les livres d’Esdras et de Néhémie étaient un seul livre. Ce fut le centre du royaume de Juda et le domaine des rois David et Salomon »[39]. Il ne s'agit pas de « sauver » la Bible hébraïque ; ni de défendre « Salomon dans toute sa gloire » ; ni d'argumenter sur qui était là le premier, Cananéens ou Israélites, Palestiniens ou Israéliens[21]. Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, le Royaume-Uni désire limiter l'entrée en Palestine des nombreux rescapés juifs des camps hitlériens, d'autant que les revendications arabes deviennent de plus en plus vives. J.-C., des gens sachant lire et écrire se trouvent dans toutes les classes sociales : graveurs de pierres tombales, officiers, ouvriers[46]. Jérusalem connaît la prospérité à l'époque mamelouke sauf autour des années 1400. Les Musulmans et les Juifs sont interdits d'établissement à Jérusalem tant que dure la domination des Croisés sur la ville[113],[114]. L'historien fait l'histoire de la mémoire sur Jérusalem, il ne doit surtout pas poursuivre le tracé et ajouter une pierre… L'historien doit au contraire déconstruire les échafaudages qui reposent nécessairement sur des présupposés idéologiques : il doit dire ce qui a été et non pas présenter ce qui a … Atsiz ibn Abaq fait égorger le juge et des notables de Jérusalem. J.-C., par un peuple appelé les Cananéens dans l’Ancien Testament. Le 1er janvier 2018, l'Autorité des antiquités d'Israël annonce la découverte, place du Mur occidental, d'un sceau qui daterait du VIIe siècle av. Cela est corroboré par un texte d'exécration égyptien (texte comportant une malédiction) dans lequel apparaît pour la première fois le nom de la ville de Jérusalem[6], les noms de villes et de leurs dirigeants ont été inscrits sur la terre accompagnés de malédictions (les noms de deux dirigeants de Jérusalem, Shas'an et Y'qar 'h sont également inscrits sur ces textes. Elle fut ensevelie lors de la construction de la plateforme du Temple d'Hérode, sur le mont du Temple, l'actuelle esplanade des Mosquées[note 2]. J.-C., ce petit village est limité à l'emplacement que l'on appelle la « Cité de David[25] ». Le 27 juin, la Knesset vote la loi sur la protection des lieux saints et Jérusalem [160] ; le lendemain, le gouvernement israélien étend l'action de la municipalité israélienne de Jérusalem à sa partie arabe (Jérusalem-Est)[161]. Si les villes côtières phéniciennes de la Via Maris connaissent alors un bel essor[58], ce n'est pas totalement le cas de la Judée, qui est en dehors des voies de communications. Cette implantation juive accrue provoque des tensions avec les Arabes. Les murailles de la ville sont reconstruites[64] et Jérusalem, qui était jusque-là en marge de l'histoire politique du Levant, devient la capitale d'un grand royaume sous la conduite des Hasmonéens[66] qui mènent plusieurs travaux importants : une forteresse au nord-ouest du mont du Temple, un palais au nord de la ville haute[67] et un aqueduc[68]. Une municipalité « mixte et intercommunautaire » est instituée à partir des années 1860[145]. Il est alors surmonté d'une croix, orné à l'intérieur d'images pieuses mais on y laisse les inscriptions arabes (et alors indéchiffrables) qui niaient la divinité de Jésus[117]. En 701 av. C'est aussi à cette époque qu'est reconnu le chemin qu'aurait suivi Jésus pour monter au Calvaire, c'est-à-dire la Via Dolorosa (he. J.-C. - 638), Jérusalem, capitale du royaume latin de Jérusalem (1099-1187), Reconquête de Jérusalem par les musulmans, Période instable : du règne de Saladin au contrôle de Jérusalem par les Mamelouks (1187 - 1261), Occupation puis mandat britannique (1917 - 1948), Histoire contemporaine (de 1948 à nos jours), De 1948 à 1967 : Jérusalem, une ville partagée, Depuis juin 1967 : Jérusalem , une seule ville, « La Jérusalem du dixième siècle était un petit centre administratif, probablement peuplé d'environ un millier de personnes sans fortifications et sans architecture de grande envergure ou de palais somptueux, une bourgade plutôt modeste. L'arc de Titus à Rome représente d'ailleurs la victoire des Romains emportant les ornements du Temple dont la menorah de Jérusalem. À Jérusalem, il rend à l'islam l'église du Temple (mosquée Al-Aqsa), mais laisse aux chrétiens le Saint-Sépulcre et rend aux juifs le Mur des Lamentations (Kotel) et leurs synagogues, dont l'accès leur avait été interdit par les Croisés. Son pouvoir d'attraction est sans doute unique au monde. À l'époque ottomane, c'est le gouverneur de l'eyalet de Damas qui nommait pour un an renouvelable le chef du sanjak (district) de Jérusalem[136]. Teddy Kollek devient alors le maire de tout Jérusalem ; il était auparavant maire (élu travailliste) depuis 1965 de Jérusalem-Ouest. Les envahisseurs, un peuple de différentes composantes où les Jébuséens dominaient, tombèrent sous la domination égyptienne au XVe siècle av. J.-C.), remportée par le souverain séleucide Antiochos III Mégas contre Ptolémée V. Antiochos III se montre bienveillant envers les Juifs en décrétant des exemptions d'impôts, des libérations d'esclaves et surtout en permettant aux Juifs de vivre selon leurs lois ancestrales[63]. Par ailleurs, dès le début du VIIe siècle av. Les problématiques politiques et idéologiques actuelles sont également abordées. Marie se rend à Nazareth en Judée pour voir Élisabeth, elle aussi enceinte. Les musulmans y construisent avant 670 une première mosquée sur l'emplacement de l'ancien Temple d'Hérode, là où se situe la mosquée al-Aqsa actuelle[105]. Histoire de Jérusalem Cahill « Jerusalem at the Time of the United Monarchy : The Archaeological Evidence », A.G. Vaughn (dir.) « L'enjeu pour l'historien est de savoir dans quelle mesure il peut ou non faire confiance au texte biblique qui constitue, quoi qu'on en pense, la source ancienne de loin la plus développée dont il dispose concernant l'histoire d'Israël. Ce sont les positions des tombes, extérieures à la zone habitée, qui fournissent les estimations de population les plus directes : ce n'est que deux siècles plus tard que la population s'accroît considérablement. Durant la Première Guerre mondiale, la population de Jérusalem décroit fortement en passant de 70 000 à 45 000 habitants car les Juifs doivent s'enrôler dans l'armée ottomane ou s'exiler et les Arméniens sont menacés par les persécutions[148]. En fait, ces quartiers sont mixtes[143]. Les premières traces archéologiques du culte de YHWH trouvées à Jérusalem sont exposées au musée d'Israël de la ville. Il précise : « La Jérusalem du dixième siècle était un petit centre administratif, probablement peuplé d'environ un millier de personnes sans fortifications et sans architecture de grande envergure ou de palais somptueux, une bourgade plutôt modeste. Les Perses battent les Babyloniens et créent un vaste empire allant de la Perse à l'Anatolie et à l'Égypte. On constate que, à partir de cette époque où l'écriture se généralise, les récits bibliques se mettent en correspondance avec l'histoire telle qu'on la reconstitue à travers l'archéologie. En 1933, avec la montée du nazisme, les Britanniques commencent à s'orienter vers un partage du pays, Jérusalem devant se trouver sur la ligne frontière, à titre de ville ouverte. Ce vœu finira … villes   et A.E. L'église de la Nea est bâtie au vie siècle. Seuls, les lieux saints du Haram ach-Charif échappent à la suzeraineté de Frédéric II. Selon Israël Finkelstein, les sites des « hautes terres » (la Cisjordanie actuelle) dont le site de Jérusalem ont été abandonnés vers 3000 avant notre ère pour être réinvestis vers 1800 avant notre ère. Deux cardo sont construits : le Cardo maximus, l'actuel souk de la vieille ville[79], et le Cardo secondaire, d'orientation nord-sud[77], l'actuelle rue Al-Wad[80] et un decumanus d'orientation est-ouest, l'actuelle rue de David[81]. La « Ville sainte » est en effet saturée par les mémoires concurrentes des monothéismes (juif, chrétien, musulman) et … En 418, le chroniqueur Hydace de Chaves rapporte qu'un violent tremblement de terre détruisit une partie de lieux saints de la ville[89]. Puis Al-Walid construit une mosquée sur l'emplacement de l'actuelle mosquée al-Aqsa (vers 705-715). Ils retournent à Jérusalem, y ramenant les trésors du temple[note 6]. Il développe considérablement l'adduction en eau de la ville et fait construire citernes, fontaines et piscines[73]. Cette révolte est réprimée et écrasée en 70 apr. Si les manuscrits de Qumran témoignent alors de la centralité pour le judaïsme du Temple de Jérusalem[67],[note 6], un processus d'hellénisation se poursuit comme le montrent les monnaies hasmonéennes ou encore des tombeaux de la vallée du Cédron[69].

Descendants De Salomon, Les Interdits Pendant Le Ramadan, Touche D'ordinateur 3 Lettres, Taboo Saison 2, Les Plus Grandes Entreprises De Telecommunication En France, Rumi Spice And Shark Tank,

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